L’élagage livresque a lieu.
Il procède, surpris face à l’inutile stagnant.

Faire circuler l'énergie, dit le Feng Shui...

Le métier dans une Haute École
scientifique et technique
a souvent entassé
des ouvrages datés.

Nul outrage:
la mutation des intérêts,
la mise à jour plus rapide
des savoirs*,
l’évolution de leur palette.


* Le tout repose sur une inférence
bien établie qu’étant un visuel
il me faut voir les objets
plutôt que de les savoir
déposés en un invisible lieu.
Le temps pourrait être proche
du changement de paradigme
abandonnant
ce ça voir
– une attention plus vive au lire ! -.

Plutôt que de ce voir,
qui est une facilité,
voire même une licence
octroyée au soi,
victime de soi
sans rien faire,
celer, noyer, ranger.

Et que l'envie de continuer
la lecture trouve sa cohérence
par une voie neuve.

Gageure ?