La lecture d'un nouvel ouvrage de Leo Barthe, hétéronyme de Jacques Abeille, – Constance ou la pure révolte –, je plonge sur le ouaibe pour rafraichir mes déliaisons sur la toile avec l'auteur & je découvre une émission coproduite par Philippe Lefait, Des mots de minuit, dans laquelle une conversation de qualité se noue avec Jacques Abeille sur Les mers perdues, Les jardins statuaires, Les barbares & La barbarie. L'occasion: leur parution chez l'éditeur Attila, qui a précédé Le tripode dans la publication des oeuvres complètes 

Aux environs de la 42e minute, presque trente minutes d'offrandes.  Voici le lien.

Une voix, un regard, des sourires aussi. Je n'avais pas encore eu l'occasion de les observer occuper tout l'espace d'un studio de télévision, le temps de l'entretien. La transcription de cet entretien serait une contribution qui tisserait à l'approche de la langue de l'auteur un ancrage que l'écrit consacre mieux que l'oral vidéasté.