C'est désespérer de l'homme que de confier au sol, à la terre, la solution d'un conflit millénaire. Cela fait pourtant si longtemps que leurs efforts  pour en sortir sont vains parce que la tentation de la violence est plus forte, la tentation de l'isolement, du rejet de l'autre.

Pourquoi ne pas tenter l'appel un peu totémique au sol? Cette terre d'apparence si sèche, en si grand besoin d'eau, dirrigation, recèle-t-elle encore les ressources nécessaires pour guider les hommes, ses « occupants », vers le meilleur et non le pire?