Un chien caché sous un manteau d'arlequin
Tape du pied faute de bâton.
Il attend des rayons éclairés pour se jeter à l'eau.
Sa mémoire s'étiole derrière un nuage de trac.
Des cendres brûlent des planches dans un rêve
Où un étang au bord d'une maison
Se vide d'objets, de sens et de passion.
Des ignorants applaudissent quand la page se tourne
Et que commence un vol qu'ils suivent des yeux,
De la tête et des doigts.
« La mort du chien », spectacle à naître.
Nouveau visage à paraître.
Tout un monde lumineux en été,
Où un je essaie d'être sincère.


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