Le vent s’empare de l’espace
un court instant.
Il acclimate le corps
à la chaleur printanière.
Il revient par salves coquines,
repart, dissous dans le rien.
Les joues savourent
le courant de l’air,
la caresse d’Éole.
La caresse d’Éole
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- Écrit par : Nulle Part
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