La joue enjolivée par le feu enjoué
allume le regard se pose sur
le paysage éteint.
Le dedans s’attend
au corps couché,
mi-retrait mi-sieste.
Une pause dépause
la prose aux joues enjolées
à la proue chalutée du presqu’if.
Paysage éteint
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- Écrit par : Nulle Part
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