Le soleil effleure les pores.
La peau se gorge d’énergie primale,
résidu de la soupe originelle.
Le vent, par sa caresse,
s’empresse d’intégrer finement
ce rayonnement
imperceptible et vital.
Source : Betty Boop.
Allant, Guy se ment.
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- Écrit par : Nulle Part
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