Je (re)découvre Dans quels mondes vivons-nous ? Deux auteurs fréquentés: Aurélien Barrau & Jean-Luc Nancy. Éditions Galilée, 2011.

Peu lu à en juger par la rareté des repérages soulignants de mots-clés. Je prends.

« Cette neuve pluralité (des mondes)

ou cette autre manière de nommer & penser un multiple depuis toujours sous-jacent ou sous-tendu,

RÉSONNE comme un lieu possible e rencontre entre les philosophies continentales & analytiques. » 18-19

Nommer, penser ce qui gît dessous la pluralité neuve des mondes retentit au carrefour de deux philosophies nées au XXe siècle,

nommer ce qui sous-tend la pluralité neuve des mondes pour la science tinte là où se croisent deux philosophies qui me sont relativement étrangères.

Dans résonner, il est question d’écho, de réverbération de mondes pluriels, d’ondes pluriformes.
La résonance peut avoir lieu sur un temps incommensurablement long / unfathomably deep que l’échelle temporelle humaine ne peut se  re)présenter sous peine de délayage dans l’immense. S’assembler dans l’immense sans s’y impuissanter à se délayer, à se perdre.

Une neuve extraction de la Léonardienne est en cours. La lecture de cet opus plus récent en a réactualisé le goût ainsi qu'une froideur jardinière... (13 6 22) Un travail sur ce dernier consiste à en extraire des thématiques pour assembler autour d'elles des phrases, des paragraphes extraits de cette conversation aux questions un peu ... (une bienveillance, assurément m'en fera taire la qualification précise !)


 

 

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