J’acquiers la nonchalance matoise  
des gens de la campagne.
Le bois des mois frissonnants 
est en place, prêt pour l'offrande.

Chauler l’improbable  
d’abandon empathique.

Mon corps, ma maîtrise  
s’éprend d’une lenteur apprise  
dans l’assentiment à soi.

Sueur, quelque fatigue,  
mais la pause après 10 sacs,
en respirant, restitue l’énergie  
et l’âme reprend le tempo
sans jamais rechigner.

Elle y trouve une liberté sans foi,  
inédite et fraternelle.


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