L’ordre de la rivière
médit sur ses bords disparates.
Elle afflue aux déserts
des plaines insalubres.

Une porosité d’apparat
dégouline de
la bienveillante épousée.

Un nid d’aigle
sur le paysage assagi
embrase
la couette
au contact
d’ébats calibrés mais intacts
tant que l’époux
est à son combat intérieur,
sans faim d’ailleurs.

Un rituel harmonieux résonne,
presque lancinant,
propre à la mise en branle,
à la discontinuité
de deux corps qui s’octroient à
la pluralité de leurs vibrations.


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