Ne jamais s’enfreindre ou le moins souvent possible.

Toute effraction du soi par soi est une tristesse majeure.

La question reste, lancinante: frayer avec le monde constitue-t-il une effraction de soi par la multitude, dont il convient de s’isoler, de se couper au maximum, en interagissant encore moins avec elle ?

En être là...

Avoir établi pour soi des règles de vie bien plus solides rend parfois la fréquentation du monde pénible.

En faire le constat ne doit/ne devrait pas/ne devrait plus mener à une amertume déstabilisante car elle constitue également un affect qui ressortit de la tristesse.

En faire le constat débouche plus souvent sur une sérénité non déstabilisée.
20h30
Le corps se fraye un chemin d’équilibre sur les abysses du capitalisme.

C’est en frôlant leurs marges, leurs bords, qu’un vertige peut naître.

C’est ce vertige qu’il s’agit de mieux maîtriser.


Recherche

Statistiques

  • Membres 4
  • Articles 3620
  • Compteur de clics 9585642