C'est par un brocanteur de livres que cette triangulation au (relativement) long cours a débuté:

Le cadre: une bibliothèque se féminise en insistant sur ses apports féministes. Cela paraissait un apport appréciable, l'aubaine inespérée. L'hésitation, nulle. & la lecture approfondie, longue, enthousiaste. Du moins au début...
Puis des désynchronisations sans portée a priori, mais dont le saugrenu augmente à proportion des pages affranchies qui rendent l'emprunt en bibliothèque publique – par prêt inter-bibliothécaires tant que cela existe encore ! – bienvenu, voire indispensable, pour en apprendre davantage sur deux innovations/révélations:
- les amours saphiques de la jeune prof avec certaines de ses élèves de lycée... jusqu'à son renvoi de l'éducation nationale,
- et la fourniture très dans la manière du couple EPSTEIN dont l'épouse partait en chasse de jeunes filles mineures pour la "consommation personnelle" de son si tendre époux... (une affaire très trumpienne au final ! Sartre-Trump, même combat ?) par elle (Beauvoir) pour lui (Sartre):

Enfin, un détour bienvenu pour compléter la palette après l'acquisition d'une revue publiant des études RUSÉES sur lieux communs, Eigensinn, en la publication par Clizia Calderoni de Nuances de mariage: Pour une révolution modeste de l'amour hétérosexuel chez Simone de Beauvoir:

On y apprend aussi la polygamie sartrienne... Cela complète la palette pluri-sexuelle de cet existentialisme dont l'ensemble des facettes s'attend encore à d'autres développements, sait-on jamais: autant rester ouvert.e ! Car mon alma mater, l'ULiège, publie non seulement EIGENSINN (son 1er numéro intitulé MARIAGES est déjà en ma possession, comme les crayonnés soulignants le signalent) mais aussi L'Année sartrienne... qui doit encore rejoindre les pénates léonardiennes !
Faire croustiller la philosophie, cela pourrait s'appeler, aux confins du droit et ses me-too multiples & rétroactifs.